Petit bonhomme des neiges en coton

Petit bonhomme des neiges en coton

Après le petit fantôme en coton, me revoici avec la création d’un superbe bonhomme de neige en coton lui aussi. L’enfant va pouvoir se familiariser avec différentes textures. Si tout est prêt, en 10 minutes montre en main, votre œuvre est terminée ! C’est juste le temps qu’il faut pour garder votre tout petit bien concentré.

Image finale du bonhomme de neige en coton

Matériel :

  • Une feuille de papier cartonnée
  • De la peinture bleue + rouleau de peinture
  • 3 disques démaquillant en coton
  • Quelques petites boules de coton blanches
  • 2 mini-branches de sapin ou 2 coton-tiges
  • Une forme de chapeau découpé dans du papier noir
  • Un petit triangle découpé dans du papier orange (nez)
  • Une petite écharpe découpé dans du papier rouge
  • Un feutre noir

Confection :

[A faire la veille] Cette première étape est optionnelle si vous avez déjà à disposition une feuille cartonnée de couleur bleu. Dans mon cas, j’ai opté pour du recyclage. Il s’agit de la partie plane centrale d’une enveloppe cartonnée d’une célèbre marque que j’ai découpé proprement. Il n’y a plus qu’à peindre entièrement la feuille cartonnée en bleu avec l’enfant, dans notre cas nous avons utilisé un petit rouleau de peinture. Laissez sécher la feuille bleue jusqu’au lendemain.

matériel bonhomme de neige 1

[Le jour J] Préparez tout votre matériel avant de convier l’enfant à participer à cette activité créative. Dans notre cas, le chapeau a été découpé dans un papier noir légèrement cartonné, pour le nez, j’ai simplement dessiné et colorié un triangle avec un feutre orange, que j’ai ensuite découpé et pour la petite écharpe, j’ai utilisé une chute de papier mousse rouge. Ne vous compliquez pas la vie, prenez ce que vous avez sous la main ou coloriez-les.

matériel bonhomme de neige 2

Placez une petit peu de colle sur le dos de chaque disque démaquillant et laissez l’enfant les placer l’un sur l’autre sur votre feuille bleue. Ajoutez votre petit chapeau noir tout en haut, et votre petite écharpe entre le premier et le deuxième coton. Pour le nez la pièce étant plus petite, c’est un peu plus délicat, n’hésitez pas à aider votre petit assistant.

Ajoutez de la colle sur vos petits bras en branche de sapin et collez-les proche du disque centrale. Faites ensuite des petits points de colle autour de votre bonhomme de neige, et laissez votre enfant venir déposer les petits boules de coton sur la colle. Il n’y a plus qu’à passer aux finitions, prenez votre petit feutre noir et dessinez les yeux, la bouche et des petits boutons sur le ventre de votre bonhomme.

bonhomme de neige sans les boule de neige

Laissez sécher et contemplez à volonté !

Petit fantôme en coton

Petit fantôme en coton

Voici une petite activité rigolote à faire à 4 mains à l’heure d’HALLOWEEN (les deux autres mains étant celles de votre enfant à partir de deux ans). Attention toutefois à ne pas confondre les boules de coton avec de la barbe à papa…

Matériel :

  • Colle liquide
  • Petites boules de coton blanches
  • Un feutre noir + une feuille de papier blanche

Confection :

Dessinez la forme principale de votre fantôme puis découpez ses contours. Dessinez sur une feuille blanche des yeux, des sourcils et une bouche selon votre envie, puis découpez-les. Voici mes petits exemples :

Déposer un point de colle sur chaque petite boule de coton et placez-la sur votre fantôme en papier. Reproduisez l’opération jusqu’à remplir intégralement votre petit fantôme. A noter, il est préférable de commencer par les extérieurs pour finir au centre.

en plein collage

Ajoutez ensuite les petits éléments avec un point de colle : On positionne les yeux, les sourcils et la bouche.

On laisse sécher et le tour est joué !

Pour aller plus loin, vous pouvez aussi décliner cette petite activité en plusieurs petits fantômes que vous viendrez coller ensuite sur un fil de laine : Et hop une petite guirlande d’halloween faite-maison avec un maxi effet ! L’an prochain, c’est décidé, mon petit associé sera plus grand alors on tentera les mini-fantômes ! Et pour noël, n’hésitez pas à aller consulter mon article sur le bonhomme des neiges en coton.

Mon parcours pour réussir mon allaitement

Mon parcours pour réussir mon allaitement

Après 9 mois de cohabitation idyllique, un accouchement de rêve, une fusion quasi immédiate avec mon merveilleux bébé, c’est l’allaitement qui ne s’est pas passé comme je l’avais imaginé. Après avoir rendu mon tire-lait électrique, c’est le moment pour moi d’en faire la rétrospective. Du coup, j’ai enfin pris le temps de coucher sur le papier l’ensemble de mes ressentis et les conclusions que j’ai tiré de ce moment si particulier.  

[en attente photo]

LE CONTEXTE :

Future maman modèle, j’ai évidemment cherché à lire tout ce qu’il était possible de lire pour me préparer à nourrir mon bébé. J’ai acheté le livre « Mon allaitement comme je le veux » (aux éditions leducs pratique) très complet et qui annonce plutôt bien la couleur, je le recommande à celles qui souhaitent en savoir plus sur l’allaitement. Je me suis équipée en tire-lait manuel, coquillages d’allaitement, Lanoline, sachets de conservation du lait, tenues adaptées et sous-vêtements d’allaitement : BREF LA TOTALE ! Je pensais être prête.

A LA MATERNITE :

Les jours qui ont suivi sa naissance, mon petit bébé a perdu du poids et a mis beaucoup de temps à reprendre son poids de base. Notre séjour à la maternité, a été rallongé de deux jours qui m’ont d’ailleurs semblé une éternité. Pendant toute notre hospitalisation, Bébé était suivi de près avec des pesées biquotidiennes. De mon côté, j’avais de grosses douleurs, mais je m’en moquais. J’étais suspendu au verdict de la balance : « Bébé a-t-il pris du poids ? Allons-nous pouvoir rentrer chez nous ? Combien de gramme a-t-il encore perdu ? » et j’essuyais des remarques du corps médical totalement déplacées sur mon allaitement.

A titre d’exemple, je me souviens d’une réflexion de cette sage-femme en suite de couche, deux jours après avoir accouché, après une nouvelle pesée de mon bébé : « Il ne fallait pas vous refaire les seins, on va lui donner un biberon ! ». Dépitée, je lui ai répondu : « je n’ai pas refait mes seins ». Et sans manquer de culot, elle a osé me répondre : « Bah c’est que vous avez un problème alors, on va lui donner un biberon ».

Au départ, j’accusais le coup, j’ai résisté, je savais que ma montée de lait allait arriver mais la jeune maman que j’étais, a baissé les armes face aux certitudes d’un pédiatre qui vous dit que bébé est en danger. On m’a fait comprendre que je ne devais pas allaiter, que je n’en étais pas capable, alors j’ai dû céder et donner des complémentations au biberon, le cœur lourd.

LE RETOUR A LA MAISON :

En sortant de la maternité, dévouée à mon bébé, bien qu’épuisée j’avais perdu le sommeil et l’appétit. Quant à mes larmes, elles remontaient dès que le sujet de mon allaitement revenait sur le tapis ou dès que je devais justifier du poids de mon petit.

Je suis sortie de la maternité, avec un merveilleux bébé, le cœur remplis d’amour et la tête en miette.

Mon bébé prenait des biberons, ce n’était pas si grave mais le plus gênant là-dedans c’est que ce n’est pas ce que j’avais choisi pour lui. La maternité m’a imposé un choix, qui n’était pas le mien alors, j’ai tenté de donner des tétées et de compléter avec du lait en poudre pour reprendre la main petit à petit. C’était toujours aussi compliqué, et j’étais de plus en plus angoissée par son poids. J’ai perdu le sourire.

Heureusement que mon compagnon était là, il a été mon pilier et un véritable soutien dans cette aventure. Il a pris les devants et m’a conduit à la pharmacie La voie Lactée. Sans y croire vraiment, complètement déprimée, j’ai franchi la porte, et sans surprise j’ai passé l’heure de Rdv en pleurs, enchaînant les crises de larmes en vidant mon sac. La pharmacienne, Mounia, a su m’écouter, me rassurer et me redonner confiance. Elle a réactivité tout ce que je savais déjà, réparé ce que l’hôpital avait brisé et m’a apporté les solutions. J’ai compris mes erreurs, et j’ai analysé les fausses bonnes idées qu’on avait pu me donner. Croyez-le ou non, je suis sortie de cette pharmacie avec un tire-lait et j’ai allaité 13 mois.

Au final, mes montées de lait sont arrivées un peu plus tard que la moyenne. À cela s’ajoute ma lactation qui a été perturbée par l’usage d’un bout de sein, mon manque de sommeil et mes baisses de moral n’ont fait qu’amplifier mon manque de lait.

LES DEBUTS DE L’ALLAITEMENT

Après deux premières semaines très compliquées, nous avions trouvé un rythme et le poids de Bébé est monté en flèche. Parfois, je tirai mon lait, simplement pour me rassurer et le voir couler. Les tétées du sein droit étaient un vrai moment de partage mère-enfant alors qu’au sein gauche j’ai eu encore très mal durant un bon mois. Nous étions lancés pour notre aventure lactée, et Bébé avaient de belles grosses joues !

Alors oui, j’aurai effectivement pu abandonner l’idée d’allaiter à de multiples reprises, mais je n’étais pas encore prête à me séparer de mon bébé. Du coup, l’allaitement a été pour moi une sorte de continuité de la grossesse. Un moment où nous étions encore connectés et dépendants l’un de l’autre.

C’est l’image de mon bébé, lors de notre première nuit ensemble, souriant endormi et les joues pleines de colostrum qui reste gravé dans ma tête, c’est parce que j’avais l’espoir de revivre ce moment que je n’ai rien lâché.

QUAND TOUT VA BIEN

Une fois que tout est en place, l’allaitement c’est quand même la solution qui permet de se simplifier la vie. Pas de contenant à apporter, pas de vaisselle à faire, la bonne quantité partout et tout le temps. Petit bonheur en plus en période de covid, le petit n’est jamais tombé malade, même pas un simple rhume.

Petite anecdote, certain bébé alors qu’ils sont allaités, ne font pas ou très peu de selles (j’espère que vous n’êtes pas à table). Mon lait était tellement digeste, que mon Bébé a été considéré comme un bébé aux selles rares. Ironie du sort pour une jeune maman qui pensait ne pas avoir de lait.  

« Tu penses que tu vas arrêter quand ? Avec le boulot tu seras bien obligée d’arrêter ».

Effectivement, il a fallu reprendre le chemin du travail et il a fallu s’organiser. Toujours pas prête à arrêter, j’ai décidé que j’allaiterai encore. Ça demande un peu d’organisation, mais c’est totalement faisable. Je tirai le lundi le lait que mon fils consommera le lendemain chez la nounou et quand nous étions ensemble, il prenait sa tétée tout simplement. Parfois, je tirai un peu plus pour en garder au congélateur d’avance.

Nous avons adopté ce nouveau rythme jusqu’au premier anniversaire de mon petit bonhomme. C’est amusant de voir que tout le monde est très intéressé par l’usage que j’ai de ma poitrine :

« Encore ? »
« Il est peut-être temps d’arrêter, non ? »

J’ai décidé que plus personne ne me dicterai mes choix et que j’écouterai encore moins les faux conseils de gens qui pensent tout savoir. Tout d’abord, nous parlons de mes seins, alors je pense être bien placée pour prendre mes propres décisions. Ensuite, il s’agit de mon fils, alors tant qu’il en a besoin et que son papa me soutiendra dans ma démarche, je poursuivrai.

MES REGLES D’OR POUR DEBUTER :

Voici ce que j’ai retenu et que j’aurai aimé savoir bien plus tôt :

  • Usez et abusez du peau à peau avec votre bébé. Il n’aura jamais trop de câlins et ça stimule la lactation !
  • Et oui, on met un bébé au sein même quand il dort, c’est d’ailleurs pendant son sommeil qu’il va mémoriser la bonne succion à avoir pour ne pas blesser sa maman. Par ailleurs, on n’hésite pas à le corriger du bout du doigt si la prise du mamelon n’est pas correcte.
  • On évite l’usage du bout de sein, son utilisation prolongée ne stimule pas assez le mamelon, la lactation est donc perturbée.

Et comme disait l’infirmière de la PMI qui a suivi mon petit bonhomme, après la maternité :  » Maman cool, le lait coule ». C’est devenu ma phrase fétiche !

ET APRES VIENT LA FIN DE L’ALLAITEMENT

Nous avons célébré le premier anniversaire de notre petit bonhomme, et j’ai eu le début d’un déclic. Je savais que la fin de mon allaitement était proche. Je me rappelle la première coupe de cheveux de mon fils. Nous sommes allés chez le coiffeur, et avec ses cheveux coupés, j’ai réalisé qu’il n’était plus un petit bébé. Il a voulu prendre sa tétée habituelle, et je me suis sentie extrêmement gênée. J’ai tendu le sein mais je ne pouvais pas le regarder. Je pense que c’était notre vraie dernière tétée.

J’en ai profité pour lui expliquer « Tu sais mon chéri, tu es grand maintenant et Maman ne va plus avoir de lait. On va progressivement arrêter ».

C’est exactement comme ça que les choses se sont passées, il a gouté le lait en poudre, dû reprendre l’habitude du biberon. Je lui préparai même des yaourts spéciaux à base de lait maternisé durant le temps de son adaptation. C’est vrai, il a encore un peu tétouillé quand il était triste, avant de s’endormir ou parfois durant la nuit mais à 13 mois il était entièrement sevré.

Je n’allaite plus, mais nous avons notre petite habitude pour le biberon du matin et du soir. Si je suis là, mon fils refuse de le prendre tout seul, il faut qu’il soit installé sur moi, et que je le lui donne. C’est une nouvelle étape avant la prochaine, et je le fais chaque fois avec plaisir. Je suis très fière de mon petit champion et de chacun de ses progrès, ravie de l’équipe parentale que nous formons avec son papa et très contente du chemin parcouru.

Astuces pour réussir votre plateau de fromages

Astuces pour réussir votre plateau de fromages

Le fromage c’est un peu ma potion magique à moi, j’y suis tombée dedans toute petite alors autant vous dire que le plateau de fromages, c’est le temps fort de mes repas de famille. Dès qu’il faut le préparer, à chacun ses petites astuces pour le décorer, choisir de quoi il sera composé et comment le disposer, dans cet article je vous propose de vous partager mes petites astuces pour réussir à coup sûr votre plateau de fromages !

Sélection des fromages

Effectivement servir un plateau de fromages sans fromage, ça fait désordre ! La France compte une multitude de fromages aux formes, couleurs, goûts et textures très différentes, il est donc souvent difficile de se contenter d’une petite sélection. Pour vous donner un petit coup de main, je vous propose, quatre manières différentes de composer votre plateau de fromages :

  • La sélection par famille de fromages : C’est la solution la plus simple et la plus efficace pour plaire au plus grand nombre. En misant sur des arômes doux et des fromages plus forts vous allez contenter à la fois le petit Mathéo 3 ans et demi, Mémé Janine et votre tonton amateur de fromage qui pue. Dans ce cas-là, il faut opter pour un fromage à pâte dure comme un Comté ou un Beaufort, un fromage à croûte fleurie comme un Camembert ou un Brie, un fromage à pâte persillée comme du Gorgonzola ou un Roquefort et pour terminer vous partir sur un fromage plus crémeux comme un saint marcelin ou un fromage de chèvre.
  • La sélection par spécialité fromagère : Une bonne astuce pour vous permettre d’apprécier et de comprendre les différents arômes d’un même fromage. Fixez-vous sur un fromage précis et offrez-vous toutes les possibilités de le déguster. Prenons l’exemple de la « Tome » (ou « Tomme » au fait) : une Tomme de Savoie, une Tome de brebis, une Tomme d’auvergne et vous pourriez même rajouter une Tomme aux fleurs sauvages pour une pointe d’originalité.
  • La sélection régionale : Idéal pour un voyage sans sortir de chez vous. Vous pouvez miser sur une petite sélection de fromages originaire d’une région française. Par exemple, partons sur une sélection de fromages d’Auvergne :  un Cantal, un Saint Nectaire et un Bleu d’Auvergne ou de la Fourme d’Ambert
  • La sélection nationale : Histoire de voyager encore plus, vous pouvez toujours partir sur une sélection composée de fromages exclusivement originaire d’un même pays. Partons par exemple, un petit peu chez nos voisins italiens. Vous pourriez proposer un plateau composé de Gorgonzola, d’une Burrata très crémeuse, d’un Pecorino bien jeune, et d’un Caciocavallo fumé.

Le choix du plateau

Il existe plusieurs sortes de plateaux que vous pourrez trouver dans le commerce alors ne vous limitez pas au seul choix que vous propose le rayon « plateau de fromages » souvent peu fourni.  Cela dit, il préférable de partir sur un plateau rigide et d’abandonner toute idée qui pourrait dériver vers un plateau en plastique (pour éviter les chutes notamment). J’avoue avoir personnellement une préférence pour les plateaux en bois sans rebords et j’opte systématiquement pour une version ronde.

Pour innover un petit peu, vous pouvez aussi décider de proposer un plateau de fromage sur un présentoir à étage, je suis certaine que cela pourra faire son petit effet, sous réserve qu’il soit bien équilibré.  Et vous trouverez aussi beaucoup de grandes ardoises que vous pouvez également utiliser comme plateau, mais attention elles sont souvent lourdes et très fragiles, la prise en main est du coup plus délicate.

La décoration

Pour la décoration du plateau, je mise toujours sur des fruits pour apporter plus de couleurs à un plateau souvent, il faut le dire, un peu monochrome. Je dispose une petite coupelle dans laquelle je rassemble une poignée de litchis, des abricots secs ou bien figues (à adapter en fonction de la saison). Vous pouvez aussi miser sur des fruits secs si vous êtes un amateur. En complément, je dispose, au dernier moment (pour éviter au fruit de déteindre sur les fromages), des grappes de raisins autour des fromages. C’est très élégant et en plus, cela permet de picorer un petit grain de raisin entre un fromage fort et un fromage avec moins de caractère. Vous verrez les saveurs n’en seront que démultipliées !

Si vous avez plusieurs petits couteaux à fromages vous pouvez également les disposer sur le plateau pour associer un fromage à un couteau. C’est plutôt sympa pour éviter que des traces de camembert, arrivent accidentellement sur la Tome de Savoie. C’est un petit détail car après tout, si c’est vraiment le cas, pas sûr que cela soit si grave…

Enfin, pour terminer vous pouvez au préalable vous préparer des petites étiquettes à piquer sur les différents fromages pour permettre à vos convives de mieux les apprécier. Au moins cette fois-ci, vous n’aurez pas besoin de tous les énumérer.

Et du bon pain

Effectivement, un beau plateau de fromages s’accompagne d’un bon pain. A vous de voir, si vous aimez les pains spéciaux (sésames, avoine, céréales, …) ou si vous préférez un pain plus traditionnel (campagne, baguette parisienne, …), qu’importe votre choix, il n’y a pas de « faute de goût » de ce point de vu là, à condition qu’il soit bien frais et bien croustillant néanmoins !

Je pense que vous avez toutes les clés pour réussir à coup sûr votre plateau de fromages ! N’hésitez pas à me montrer vos créations et me faire vos retours… Et si vous recherchez des idées pour le dessert de votre réveillon, et que vous ne souhaitez pas pâtisser pour l’occasion, allez jeter un petit coup d’œil ici, vous trouverez peut être votre bonheur.

Pour votre dessert de fête !

Pour votre dessert de fête !

Si vous avez décidé de préparer le repas de l’entrée jusqu’au fromage et que vous préférez vous laisser porter pour le dessert, si vous n’avez rien préparé de tout le repas et qu’après tout vous avez décidé de continuer jusqu’au bout, ou si vous voulez simplement vous octroyer une lecture gourmande voici ma petite sélection des desserts de fêtes proposés par nos maîtres pâtissiers 2019.

PIERRE MARCOLINI _Conte d’hiver

Plutôt original de proposé un dessert en hauteur pour les fêtes, ça change de la traditionnelle bûche de noël tout en longueur. Moi, je me réserve la montagne la plus haute pour la croquer avec ma tisane digestive d’après repas !

49€ pour 6 personnes

LA MERE DE FAMILLE _ La bûche Renne bloqué



J’adore ! Si vous fêtez noël avec des enfants, ils vont être bluffés avec ce dessert aussi ludique que régressif. Et regardez moi, ce petit bidon tout rond !

45€ les 8/10 personnes

L’HOTEL DU COLLECTIONNEUR_ La théière


Incroyablement insolite cette théière bleue, j’ai eu le plaisir de la découvrir en avant-première au salon du chocolat et franchement c’est comme trouver par hasard sur une vaisselle d’Alice aux pays des Merveilles. Attention ce dessert n’est disponible que sur commande !

72€ pour 6/8 personnes

YANN COUVREUR _ Chilling Christmas


Mais quelle est « cute » cette bûche aux marrons ! On reste dans le format classique mais moi je raffole de ce petit renard affreusement tout mignon !

90€ pour 6 personnes

YANN COUVREUR _ Renards lovés


Moi j’adore cette forme incroyable pour une bûche, et franchement niveau saveurs, les moins téméraire y trouveront leur compte : Mousse chocolat lactée, pâte de noisette à la fleur de sel, meringue craquante. Navrée mais moi, je fonce la commander !

39€ pour 5 personnes

Et sinon, au rayon surgelé on fait presque aussi bien pour se régaler :

THIRIET_ Par la cheminée


Le brownie et la noisette, une valeur sûre qui régalera petits et beaucoup moins petits ! Je note le petit détail du bonnet de noël, et j’en ferai bien mon 4h…

18,95€ les 12 personnes

PICARD _Oursons glacés

Noël réunit petits et grands enfants, alors pour finir votre repas avec un dessert régressif qui surprendra les plus jeunes d’entre vous, vous pouvez miser sur les petits Oursons vanille-choco ! Et si les petits se sont assoupis au moment du dessert, je suis certaine que Tonton, Papy, ou la cousine n’en fera qu’une bouchée.

3.95€ les deux oursons

HAAGEN DAZS_ Les festive Charms

Plutôt pas mal cette version de dessert glacé sous la forme de boule de noël. Je crois que vous trouvez 4 déclinaisons de saveurs pour que les becs chocolatés, les bouches fruitées, les amateurs de café et les plus classiques puissent combler leur gourmandise enchantée.

13,50€ pour 2 personnes

Pas de pression, fait-maison, issu d’une grande pâtisserie, ou surgelé vous ferez à coup sûr des ravis et des ventres bien remplis. N’oubliez pas que le plus important lors de ce moment propice aux retrouvailles, c’est les souvenirs des débats autour de la table et vos éclats de rires en famille.

Calendrier de l’avent 2019

Calendrier de l’avent 2019

Le calendrier de l’avent, c’est une vraie tradition pour les gourmands à l’approche de noël. Et décembre arrive à grand pas alors je vous ai préparé une petite sélection des calendrier de nos maîtres pâtissiers pour vous permettre de trouver le votre, simplement et en dernière minute ! Chez nous, la tradition veut que ça soit ma maman qui continue de m’acheter le miens… Je ne l’ai pas encore reçu !

Calendrier de l’avent selon Ladurée

Un beau bâtiment où l’on retrouve une pâtisserie Ladurée au rez de chaussée, et des décorations de noël aux fenêtres, le tout maintenu par un petit nœud. Décrochez-le et entrez dans l’univers de la boutique ! Je trouve qu’on reconnaît bien là tout l’âme de Ladurée : Élégant avec une touche d’il y a longtemps.
Tarif : 40€

Calendrier de l’avent selon Pierre Hermé


Pour le coup, il faut vraiment aimer le vert car Pierre Hermé a tout misé sur la couleur onirique de la Forêt. Et niveau forme, ce calendrier reprend l’idée de la couronne de noël, pas bête ! N’hésitez pas à cliquer sur la photo, pour en savoir plus.
Tarif : 62€

Calendrier de l’avent selon Michalak


Pour les gourmands prêts à s’aventurer dans une aventure spatiale c’est le calendrier idéal. Les graphismes sont simples, mais le format est plutôt original, sans doute inspiré du Stickers décoratif de leur salle de Masterclasse.
Tarif : 45€

Calendrier de l’avent selon Pierre Marcolini

La forme d’une boule à neige, un design un peu vintage pourquoi pas se laisser tenter par un peu de classicisme et une déclinaison de petites douceurs chocolatées après tout.
Tarif : 49€

On trouve vraiment de quoi se régaler, et chacun a su conserver son style. Le plus dure pour vous va encore être de devoir choisir…

Les araignées à la pâte à tartiner

Les araignées à la pâte à tartiner

Nous y voilà, ce soir les enfants seront costumés pour faire « peur », à coup de « BOOOUUUHHHH », ils sonneront à nos portes, nous sursauterons de terreur et sous cette effrayante pression, nous n’aurons pas d’autre choix que de céder. Et dire que quelques poignées de confiseries peuvent nous « sauver la vie ». Voici une petite idée, terriblement mignonne pour accompagner vos sucreries : Les araignées à la pâte à tartiner.

Ingrédients :

  • 1 œuf
  • 130g de pâte à tartiner
  • 110g de Farine
  • 100g de chocolat noir fondu
  • 10 billes de malteser
  • 10 paires d’yeux en sucre (j’ai trouvé les miens chez Alice Délice à 4€99)

Préparation :

  1. Confection des cookies : Préchauffez votre four. Mélangez l’œuf, la farine et la pâte à tartiner dans un saladier. La pâte obtenue doit permettre de pouvoir réaliser une dizaine de petites boules de la taille d’une noix. Complétez avec un peu de farine si la pâte colle encore un peu aux doigts. Préparez une plaque à pâtisserie, et disposez dessus une feuille de papier cuisson. Sur cette plaque positionnez les petites boules que vous aurez légèrement aplaties avec une petite cuillère (ou avec vos doigts après tout). Attention toutefois à les espacer un petit peu pour éviter que vos cookies se collent à la cuisson. Enfournez pour une quinzaine de minutes à 180° et laissez refroidir sur une grille.
  2. Réalisation des pattes et du corps de l’araignée : Prenez les cookies un par un, et à l’aide d’un cornet en papier pour les plus avertis ou bien simplement d’un petit pinceau dessinez les pattes de chaque côté du cookie en veillant à laisser vos cookies sur le papier cuisson qui facilitera le décollage. Pour information, lors de ma réalisation je n’ai dessiné que 3 pattes de chaque côté mais une vraie araignée à 8 pattes en tout ! Pour un rendu encore plus réalise n’hésitez pas à laisser déborder votre chocolat sur les bords extérieurs de vos cookies. Terminez avec un peu de chocolat au centre du cookie pour servir de colle et déposez dessus votre corps d’araignée « une bille de Malteser ». 
  3. La touche finale : Il ne reste plus qu’à positionner vos petits yeux. Pour cela, avec un cure-dent, disposez un petit point de chocolat fondu au dos de vos petits yeux et placez-les sur vos billes de Malteser. Laissez vos petites araignées au frais une quinzaine de minutes pour que le chocolat puisse durcir. Vos petits cookies araignées sont prêts vous n’avez plus qu’à les déguster accompagnés d’un chocolat chaud à la chantilly par exemple !

Si non, avec la magie noire d’instagram j’ai pu trouver d’autres idées originales pour rester dans le thème, voici mes petites préférées :

Challenge 21 jours sans gluten !

Challenge 21 jours sans gluten !

Je me lance donc dans un régime drastique pour quelques semaines. Mon ennemi, Le Gluten! Ma technique? Fuir toutes traces de gluten durant 21 jours. Dans cet article, je m’apprête à vous révéler mon quotidien avec cette contrainte alimentaire, des petites astuces et des idées recettes que vous pourrez utiliser pour vous-même ou bien pour régaler vos invités intolérants au gluten.

Photo de différents pains disposés en forme de cercle, la farine au centre laisse apparaître un « gluten free » écrit au doigt.

Avant toute chose, « le gluten », mais qu’est-ce que c’est ?

Le gluten est en fait présent dans certaines céréales dont le blé mais aussi l’avoine, le seigle, l’orge, l’épeautre, le petit épeautre, et le kamut. Il apporte de l’élasticité et du liant, c’est entre autre, grâce à lui que nos pains sont si aérés et nos brioches bien moelleuses. Du coup, un régime sans gluten impose de dire stop à certains aliments du quotidien : Pâte, pain, viennoiserie, aliments panés, …

Faire ses courses sans Gluten :

J’ai remarqué aussi qu’avec l’effet de mode de ce régime alimentaire, les industriels de l’agroalimentaire font du « sans gluten » un argument marketing que je trouve dépourvu de sens. Exemple : Nous pouvons dorénavant trouver des « salades sans gluten » (il est inutile de préciser qu’une salade verte ne contient pas, par nature, de gluten, d’où l’incohérence et la débilité de cet argument).

Par ailleurs, en faisant mes courses, et en analysant la liste des ingrédients des produits alimentaires du quotidien on se rend compte qu’il y a beaucoup (trop) de gluten caché. De part sa nature de liant, il est souvent ajouté à des aliments transformés pour leur permettre d’avoir une meilleure consistance.Vous consommez donc du gluten sans le savoir dans certains produits. La sauce soja et certaines charcuteries par exemple, contiennent du gluten caché alors faites y donc attention !

Au départ, j’étais assez triste de me rendre compte qu’il existe assez peu de références « sans gluten » dans le commerce. Et les produits « sans gluten » sont souvent bien moins bons et plus chers que ceux que nous avons l’habitude de manger habituellement mais ne soyons pas alarmiste, j’ai eu quand même quelques bonnes surprises !

Au final, quand je regarde mon caddie, effectivement, disons-le être « sans gluten » ça coûte plus cher mais je pense qu’il faut simplement changer d’état d’esprit et se concentrer sur des recettes maisons qui ne contiennent naturellement pas de gluten ou bien quand elles en contiennent, trouver des substituts. Au final, les plats « fait-maison » sans gluten sont bien meilleurs et bien moins chers. Voici d’ailleurs quelques exemples de recettes, qui vous donneront l’impression d’être comme tout le monde…

  • Croustillant de saumon poireau et patate douce (avec de la pâte feuilletée sans gluten du commerce)
  • Coeur coulant au chocolat (avec de la farine de riz)
  • Lasagne de courgettes (et béchamel à base de maïzena)
  • Crêpes sucrées ou salés à garnir selon les envies (à base de maïzena)
  • Fusilli sans gluten à la crème et lardons (avec des pâtes sans gluten du commerce)
  • Spaghettis de courges à la sauce bolognaise (ou carbonara, ou pesto, bref ce qui vous fait saliver !)

Les déjeuners / apéros / dîners à l’extérieur avec les copains :

Les restos, les apéros et les sorties entre copains c’est aussi un sacré casse-tête quand on est adepte du « sans gluten ». La liste des allergènes est désormais obligatoirement affichés dans les lieux alimentaires, n’hésitez pas à la consulter pour sélectionner ce que vous avez le droit de manger. Pensez aussi à toujours reprécisez votre allergie ou votre intolérance à votre serveur au moment de passer commande, vous éviterez de mauvaises surprises !

Après, parfois on veut faire vite et on se retrouve au fast-food du coin. Avec ce régime, il y a des enseignes qu’il faut totalement oublier: Si vous allez au Mac Do, la seule chose que vous pouvez consommer c’est les frites. Du coup, j’espère que vous n’aviez pas trop faim ! En revanche, si vous allez chez Burger-King, vous pourrez trouver en ce moment des frites recouverte de cheddar et de bacon, accompagnées d’une petite salade verte et d’une sauce huile olive citron ça peut satisfaire un petit creux. Aussi, les restos thaï et vietnamiens avec leurs nouilles de riz sont un bon compromis! Pour le japonnais pas de soucis, si vous mangez vos sushis et vos makis sans sauce soja!

Ensuite pour les apéros en terrasse, autant oublier totalement les poulets croustillants et autres tapas panées car la chapelure c’est du pain et dans le pain, on trouve du gluten !
On peut aussi oublier, les toasts, pizzas, wraps, quiches et compagnies. Alors, si vous êtes chez vous, vous pouvez vous rabattre sur des bâtonnets de crudités si non, essayez les entrées végétariennes, les plateaux de fromage (sans pain!) ou les sushis. Et pour les sorties au resto, on trouve toujours ou presque des plats de poissons souvent accompagnés de légumes vapeurs ou des grillades de viande type : steak, entrecôte juste grillée servis traditionnellement avec des frites alors on finit par y arriver !

Petit bilan de cette expérience

Je ne constate aucune différence sur mon état de santé quand j’adopte un régime sans gluten, donc me concernant, le gluten doit être toléré par mon organisme. Du coup, vous allez rire mais ce midi je me jette sans attendre sur des vrais spaghettis à la Bolognaise (j’en meurt d’envie). Néanmoins cette expérience de 21 jours n’aura pas été inutile pour autant, car j’ai découvert une multitude de farines qui peuvent plus ou moins se substituer à la classique farine de blé. J’ai donc appris à cuisiner différemment, et je pourrai recevoir des convives « sans gluten » avec moins de difficultés.